- EAN13
- 9782221113363
- ISBN
- 978-2-221-11336-3
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 04/06/2009
- Collection
- Pavillons Poche
- Nombre de pages
- 273
- Dimensions
- 18,3 x 12,3 x 1,8 cm
- Poids
- 210 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
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Jour de fête à l'hospice - Pavillons poche
De John Updike
Traduit par Alain Delahaye
Robert Laffont
Pavillons Poche
Quelques mois après la disparition de l'écrivain américain John Updike, voici la réédition de son tout premier roman.
Dans un hospice situé en rase campagne aux confins du New Jersey et de la Pennsylvanie, la monotonie de l'existence est rompue chaque été par une fête, qui est aussi l'occasion d'une traditionnelle vente de charité. Dès le matin les vieillards s'affairent à leurs préparatifs, malgré la menace d'un gros orage, qui finalement éclate. Heureusement les nuages disparaissent au bout de quelques heures, et la fête commence en fin d'après-midi. Les incidents qui parsèment la journée sont centrés sur la personne du nouveau directeur, Stephen Conner, un jeune administrateur peu doué pour le contact humain. Face à lui, le doyen de l'endroit, Hook (quatre-vingt-quatorze ans), apparaît comme un sage vénérable ; tandis que Gregg, plus jeune (seulement soixante-dix ans !), se comporte un peu comme un gamin mal élevé. L'imposante présence de Mendelssohn, l'ancien directeur aujourd'hui décédé, domine encore les pensées de tous les pensionnaires. Plusieurs figures féminines donnent également à ce livre une densité humaine exceptionnelle. Une langue riche, précise et expressive ; une pensée dont la profondeur n'exclut pas l'humour ; et l'irrésistible tendresse humaine qui parcourt tout le livre : telles sont les qualités majeures de cette allégorie de la générosité, qui se lit constamment avec le sourire.
Dans un hospice situé en rase campagne aux confins du New Jersey et de la Pennsylvanie, la monotonie de l'existence est rompue chaque été par une fête, qui est aussi l'occasion d'une traditionnelle vente de charité. Dès le matin les vieillards s'affairent à leurs préparatifs, malgré la menace d'un gros orage, qui finalement éclate. Heureusement les nuages disparaissent au bout de quelques heures, et la fête commence en fin d'après-midi. Les incidents qui parsèment la journée sont centrés sur la personne du nouveau directeur, Stephen Conner, un jeune administrateur peu doué pour le contact humain. Face à lui, le doyen de l'endroit, Hook (quatre-vingt-quatorze ans), apparaît comme un sage vénérable ; tandis que Gregg, plus jeune (seulement soixante-dix ans !), se comporte un peu comme un gamin mal élevé. L'imposante présence de Mendelssohn, l'ancien directeur aujourd'hui décédé, domine encore les pensées de tous les pensionnaires. Plusieurs figures féminines donnent également à ce livre une densité humaine exceptionnelle. Une langue riche, précise et expressive ; une pensée dont la profondeur n'exclut pas l'humour ; et l'irrésistible tendresse humaine qui parcourt tout le livre : telles sont les qualités majeures de cette allégorie de la générosité, qui se lit constamment avec le sourire.
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