- EAN13
- 9782915002751
- Éditeur
- Géorama
- Date de publication
- 02/07/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Enfin, une nouvelle édition de La terre n'est qu'un seul pays !
Ce grand récit d'aventures qui a tant fait rêver de lecteurs et suscité tant
de vocations, au niveau du voyage tout comme à celui de l'éveil spirituel.
L'auteur, André Brugiroux, qui n'a cessé de voyager depuis, y raconte comment
il a réussi à parcourir 400.000 km autour du monde en stop avec un dollar par
jour et sans dormir à l'hôtel. Cela lui a pris 18 ans d'une incroyable
bourlingue sans rentrer à la maison. Parti à 17 ans, avec 10F en poche et un
diplôme de l'Ecole hôtelière de Paris, il a ramené de cette longue quête à
travers quelques 135 pays, une vision nouvelle de l'histoire des hommes, une
vision porteuse d'espoir.
Un récit hautement rocambolesque (l'auteur a connu 7 prisons et a failli se
faire descendre une demi-douzaine de fois) qui s'adresse au cœur de chacun.
Car il s'agit plus en définitive d'un tour « des hommes » que d'un tour du
monde. Un appel à la fraternité plus que jamais d'actualité, appel qui
remémore les fameux chemins de Katmandou, devenus mythiques aujourd'hui.
Un ouvrage incontournable, une vraie invitation au voyage et à l'éveil
spirituel.
EXTRAIT
Je m’étais juré que la dernière voiture me déposerait devant la porte. Chez
moi.
La trouverai-je cette dernière voiture, en ce jour d’octobre 1973. Le temps
était incertain, l’air relativement frais et humide. Novembre approchait.
J’avais froid, pour la dernière fois sans doute.
Je marchais dans les rues de Troyes, sur les trottoirs humides il n’y avait
presque personne, à l’exception d’un flic qui très vite me repéra. Le
quatrième depuis Strasbourg.
— Vos papiers !
Triste retour ! Après tant d’années passées sur tous les chemins de la terre,
j’étais suspect, à 136 km de chez moi, dans mon propre pays.
— Au bout de la descente, de l’autre côté du pont, tu trouveras la Nationale.
Je ne devais pas m’éterniser à Troyes, il me le faisait clairement sentir.
L’endroit était très mauvais pour arrêter une voiture. Je le compris d’emblée,
comme par instinct. Je marchai encore vingt minutes, sans m’en rendre compte,
sans sentir sur mon dos le poids de mon sac qui me donnait des allures de
vagabond, de suspect… J’avais oublié le flic, le sac, le froid. J’étais de
retour.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un très beau récit de voyage qu'André Brugiroux résume en une phrase : « la
Terre n’est qu’un seul pays ». - Caro29, Babelio
Un beau témoignage sur la rencontre des autres, sur les émotions liées à la
découverte de l'ailleurs. Bien plus qu'un tour du monde, c'est un choix de vie
qui nous est relaté. - am0047, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
André Brugiroux est considéré aujourd'hui comme l'un des plus grands voyageurs
de la planète. Né en 1937, il a parcouru et visité tous les pays du monde sur
une période de soixante ans.
Ce grand récit d'aventures qui a tant fait rêver de lecteurs et suscité tant
de vocations, au niveau du voyage tout comme à celui de l'éveil spirituel.
L'auteur, André Brugiroux, qui n'a cessé de voyager depuis, y raconte comment
il a réussi à parcourir 400.000 km autour du monde en stop avec un dollar par
jour et sans dormir à l'hôtel. Cela lui a pris 18 ans d'une incroyable
bourlingue sans rentrer à la maison. Parti à 17 ans, avec 10F en poche et un
diplôme de l'Ecole hôtelière de Paris, il a ramené de cette longue quête à
travers quelques 135 pays, une vision nouvelle de l'histoire des hommes, une
vision porteuse d'espoir.
Un récit hautement rocambolesque (l'auteur a connu 7 prisons et a failli se
faire descendre une demi-douzaine de fois) qui s'adresse au cœur de chacun.
Car il s'agit plus en définitive d'un tour « des hommes » que d'un tour du
monde. Un appel à la fraternité plus que jamais d'actualité, appel qui
remémore les fameux chemins de Katmandou, devenus mythiques aujourd'hui.
Un ouvrage incontournable, une vraie invitation au voyage et à l'éveil
spirituel.
EXTRAIT
Je m’étais juré que la dernière voiture me déposerait devant la porte. Chez
moi.
La trouverai-je cette dernière voiture, en ce jour d’octobre 1973. Le temps
était incertain, l’air relativement frais et humide. Novembre approchait.
J’avais froid, pour la dernière fois sans doute.
Je marchais dans les rues de Troyes, sur les trottoirs humides il n’y avait
presque personne, à l’exception d’un flic qui très vite me repéra. Le
quatrième depuis Strasbourg.
— Vos papiers !
Triste retour ! Après tant d’années passées sur tous les chemins de la terre,
j’étais suspect, à 136 km de chez moi, dans mon propre pays.
— Au bout de la descente, de l’autre côté du pont, tu trouveras la Nationale.
Je ne devais pas m’éterniser à Troyes, il me le faisait clairement sentir.
L’endroit était très mauvais pour arrêter une voiture. Je le compris d’emblée,
comme par instinct. Je marchai encore vingt minutes, sans m’en rendre compte,
sans sentir sur mon dos le poids de mon sac qui me donnait des allures de
vagabond, de suspect… J’avais oublié le flic, le sac, le froid. J’étais de
retour.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un très beau récit de voyage qu'André Brugiroux résume en une phrase : « la
Terre n’est qu’un seul pays ». - Caro29, Babelio
Un beau témoignage sur la rencontre des autres, sur les émotions liées à la
découverte de l'ailleurs. Bien plus qu'un tour du monde, c'est un choix de vie
qui nous est relaté. - am0047, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
André Brugiroux est considéré aujourd'hui comme l'un des plus grands voyageurs
de la planète. Né en 1937, il a parcouru et visité tous les pays du monde sur
une période de soixante ans.
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