- EAN13
- 9782840497387
- Éditeur
- Seguier éditions
- Date de publication
- 24/03/2017
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Des années 1900 à 1950, l'âge d'or de la Café Society saisi sur le vif par
l'une de ses figures incontournables : le photographe Cecil Beaton.
Emblématique portraitiste de mode, " Prince des photographes ", Cecil Beaton
(1904-1980) fut l'une des figures principales de cette vie mondaine et
cosmopolite si joliment appelée Café Society. Une société qu'il sut conquérir
avec une incomparable aisance, passant, d'un pas, de l'Europe aux États-Unis,
allant des salons de l'aristocratie conservatrice aux fêtes des personnalités
les plus extravagantes.
Et si nous savions de Cecil Beaton qu'il était un chroniqueur talentueux, nous
découvrons dans cet ouvrage qu'il fut aussi un superbe écrivain. De quoi est-
il ici question ? De futilités. Que ceux qui s'en formaliseraient passent leur
chemin, c'est le conseil que leur adresse Christian Dior : " Je conçois que
cet intérêt passionné pour des choses frivoles puisse agacer les gens sérieux.
Tant pis pour eux. Cecil Beaton a raison d'écrire avec foi. [...] Nous savons
que, des civilisations, c'est le périssable qui demeure. " Au fil des pages,
se succèdent les portraits de célébrités tels Balenciaga, Dior, Chanel, mais
aussi d'élégantes, de modèles, de photographes et de tant d'autres. Ainsi
Beaton encense-t-il une époque, se souvient des gens d'influence, rallume le
chic, l'esprit et la déraison.
l'une de ses figures incontournables : le photographe Cecil Beaton.
Emblématique portraitiste de mode, " Prince des photographes ", Cecil Beaton
(1904-1980) fut l'une des figures principales de cette vie mondaine et
cosmopolite si joliment appelée Café Society. Une société qu'il sut conquérir
avec une incomparable aisance, passant, d'un pas, de l'Europe aux États-Unis,
allant des salons de l'aristocratie conservatrice aux fêtes des personnalités
les plus extravagantes.
Et si nous savions de Cecil Beaton qu'il était un chroniqueur talentueux, nous
découvrons dans cet ouvrage qu'il fut aussi un superbe écrivain. De quoi est-
il ici question ? De futilités. Que ceux qui s'en formaliseraient passent leur
chemin, c'est le conseil que leur adresse Christian Dior : " Je conçois que
cet intérêt passionné pour des choses frivoles puisse agacer les gens sérieux.
Tant pis pour eux. Cecil Beaton a raison d'écrire avec foi. [...] Nous savons
que, des civilisations, c'est le périssable qui demeure. " Au fil des pages,
se succèdent les portraits de célébrités tels Balenciaga, Dior, Chanel, mais
aussi d'élégantes, de modèles, de photographes et de tant d'autres. Ainsi
Beaton encense-t-il une époque, se souvient des gens d'influence, rallume le
chic, l'esprit et la déraison.
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