- EAN13
- 9782081280953
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 25/01/2012
- Collection
- Classiques Arthaud
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Arthaud 28,00
Pour la première fois réunis en un seul volume, Peuples chasseurs de
l’Arctique et Nahanni sont les deux grands récits des aventures canadiennes de
Roger Frison-Roche. En 1966, l’écrivain décide d’aller à la rencontre des
Indiens du Grand Lac des esclaves aux côtés de son complice, le photographe
Pierre Tairraz. Les voilà donc partis pour quelque deux mille kilomètres en
traîneau dans les déserts glacés du Grand Nord. Trois mois durant, ils
supportent des températures entre –30°C et –40°C et découvrent une vie de
chasseurs aux antipodes de la leur. Profondément marqués par ce premier
voyage, les deux hommes éprouvent, trois ans plus tard, l’irrépressible besoin
de revenir sur leurs pas et envisagent cette fois de remonter en canot le
cours de la redoutable Nahanni. Ce récit d’aventures mythique, écrit au retour
de l’expédition, suscite toujours autant le frisson et nous fait découvrir les
horizons d’une terre mystérieuse et hostile, dont les noms évocateurs – la
porte des Enfers, la chaîne des Funérailles… – rappellent sans cesse
l’omniprésence du danger.
l’Arctique et Nahanni sont les deux grands récits des aventures canadiennes de
Roger Frison-Roche. En 1966, l’écrivain décide d’aller à la rencontre des
Indiens du Grand Lac des esclaves aux côtés de son complice, le photographe
Pierre Tairraz. Les voilà donc partis pour quelque deux mille kilomètres en
traîneau dans les déserts glacés du Grand Nord. Trois mois durant, ils
supportent des températures entre –30°C et –40°C et découvrent une vie de
chasseurs aux antipodes de la leur. Profondément marqués par ce premier
voyage, les deux hommes éprouvent, trois ans plus tard, l’irrépressible besoin
de revenir sur leurs pas et envisagent cette fois de remonter en canot le
cours de la redoutable Nahanni. Ce récit d’aventures mythique, écrit au retour
de l’expédition, suscite toujours autant le frisson et nous fait découvrir les
horizons d’une terre mystérieuse et hostile, dont les noms évocateurs – la
porte des Enfers, la chaîne des Funérailles… – rappellent sans cesse
l’omniprésence du danger.
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